Le but de cette étude a été d’évaluer les taux de succès après une ou deux années d’implants ITI conventionnels ou chargés précocement et supportant des prothèses mandibulaires
chez des patients édentés. Vingt-quatre participants de 55 à 80 ans ont été répartis au hasard dans ces deux groupes. Le premier avait une période de guérison des implants de douze semaines avant la mise en charge (contrôle) vs le second groupe qui disposait de six semaines avec une charge identique. Tous les participants avaient eu des prothèses conventionnelles maxillaires et mandibulaires complétes avant l’étude. Deux implants ITI à surface SLA ont été placés dans i’interforamen mandibulaire suivant un protocole chirurgical non-enfoui standardisé. Après six à douze semaines de guérison, des matrices ont été placées dans la surface des prothèses mandibulaires préexistantes et les implants chargés. Le succès implantaire a été déterminé à l’aide des tests de mobilité et de radiographies prises lors de l’examen initial, 52 et 104 semaines après la chirurgie. Les paramétres paroimplantaires cliniques ont également été documentés. Les résultats indiquaient que tous las implants avaient une ostéointégration réussie selon les critères courants, aprés deux années. La perte osseuse moyenne de l’os crestal après une année était de 0.35.22 mm chez les contrôIes vs 0.27.0.18 mm dans le groupe test. Après deux années, ceux-ci étaient réduits à 0.09.0.06 mm dans le groupe contrôle le vs 0.12.17 mm dans le groupe test. Les valeurs moyennes du Periotest après une année étaient de 4,9 dans le groupe contrôle vs 3.78 dans le groupe test.
chez des patients édentés. Vingt-quatre participants de 55 à 80 ans ont été répartis au hasard dans ces deux groupes. Le premier avait une période de guérison des implants de douze semaines avant la mise en charge (contrôle) vs le second groupe qui disposait de six semaines avec une charge identique. Tous les participants avaient eu des prothèses conventionnelles maxillaires et mandibulaires complétes avant l’étude. Deux implants ITI à surface SLA ont été placés dans i’interforamen mandibulaire suivant un protocole chirurgical non-enfoui standardisé. Après six à douze semaines de guérison, des matrices ont été placées dans la surface des prothèses mandibulaires préexistantes et les implants chargés. Le succès implantaire a été déterminé à l’aide des tests de mobilité et de radiographies prises lors de l’examen initial, 52 et 104 semaines après la chirurgie. Les paramétres paroimplantaires cliniques ont également été documentés. Les résultats indiquaient que tous las implants avaient une ostéointégration réussie selon les critères courants, aprés deux années. La perte osseuse moyenne de l’os crestal après une année était de 0.35.22 mm chez les contrôIes vs 0.27.0.18 mm dans le groupe test. Après deux années, ceux-ci étaient réduits à 0.09.0.06 mm dans le groupe contrôle le vs 0.12.17 mm dans le groupe test. Les valeurs moyennes du Periotest après une année étaient de 4,9 dans le groupe contrôle vs 3.78 dans le groupe test.
Après deux années, les valeurs de fréquence de résonnance moyenne pour les implants contrôle étaient de 6797 Hz (le quotient de stabilité implantaire ISQ moyen 64.77) et pour les implants tests de 6670 Hz (moyenne ISQ 62.7). Des périodes de charge plus courtes pour ces implants ITI ne produisaient aucune différence significative dans l’ostéointégration ni dans les paramètres
paro-implantaires. Des paires d’implants ITI à surface SLA non-reliés peuvent donc être mis en charge avec succès avec des prothèses mandibulaires dès six semaines après la chirurgie.
Payne et al . Conventional and early loading of unsplinted ITI implants
Clin. Oral Impl. Res. 13, 2002 / 603–609
