L’effet des rétentions mécaniques sur la solidité de réparation d’une restauration en composite.
Les auteurs ont mené une étude in vitro pour tester l’hypothèse selon laquelle les rétentions effectuées dans de vieilles restaurations en composite étaient susceptibles d’améliorer la solidité de cohésion entre la restauration et un composite de réparation fluide.
Les conclusions de cette étude ont montré que les forces de flexion des spécimens réparés étaient toujours inférieures aux forces de flexion de cohésion au sein des matériaux qui ont été réparés. Les rétentions n’amélioraient pas en général la solidité de la réparation.
Les auteurs ont mené une étude in vitro pour tester l’hypothèse selon laquelle les rétentions effectuées dans de vieilles restaurations en composite étaient susceptibles d’améliorer la solidité de cohésion entre la restauration et un composite de réparation fluide.
Les conclusions de cette étude ont montré que les forces de flexion des spécimens réparés étaient toujours inférieures aux forces de flexion de cohésion au sein des matériaux qui ont été réparés. Les rétentions n’amélioraient pas en général la solidité de la réparation.
Les implications cliniques qui en découlent sont les suivantes : les petites rétentions à la surface d’un composite sont souvent difficiles à combler complètement, ce qui entraîne des zones de concentration de stress qui n’aboutissent pas à une amélioration de la solidité de la réparation. (Source : JADA, Octobre 2004).