Le raclage de la langue et de la muqueuse montre une présence bactérienne plus importante que chez les non fumeurs. Mais surtout, les cellules prélevées dans la récolte sont soumises a la koilocytose. Cette dernière modification est indicative de l´infection humaine par le virus papillomateux (papillomavirus), mais dans le cas présent, sans que les lésions que cette pathologie entraîne soient constatables macroscopiquement.
Darling et coll South African DJ 2002 ; 57 : 132-5
Traduction Française : Dr A Chanderot
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