Une équipe de chercheurs français et israéliens a découvert des signes d’une maladie génétique sur le fossile d’un enfant de deux ans trouvé il y a plusieurs années lors de fouilles en Ethiopie, apprend-on jeudi auprès de l’équipe.
Il s’agit, selon les chercheurs, de l’un des indices les plus anciens découverts à ce jour de maladie héréditaire.
L’enfant, de genre homo erectus, dont il ne reste qu’un petit fragment de mâchoire souffrait d’une maladie dentaire, l’amélogénêse imparfaite qui atteint l’émail.
Cette maladie rare affecte un Américain sur 8.000 mais est plus fréquente dans certains pays comme la Suède.
Il s’agit, selon les chercheurs, de l’un des indices les plus anciens découverts à ce jour de maladie héréditaire.
L’enfant, de genre homo erectus, dont il ne reste qu’un petit fragment de mâchoire souffrait d’une maladie dentaire, l’amélogénêse imparfaite qui atteint l’émail.
Cette maladie rare affecte un Américain sur 8.000 mais est plus fréquente dans certains pays comme la Suède.
La recherche a été publiée dans une récente édition du Journal of Human Evolution.
Elle a été effectuée conjointement par Mme Silvana Condemi du Centre de recherche français de Jérusalem du CNRS, un chercheur italien, le professeur Marcelelo Piperno et les chercheurs israéliens Uzi Zilbeberman et Patricia Smith de l’université hébraïque de Jérusalem.