Avec la fonction “biojaw”, une nouveauté de la version 4.4 du logiciel CEREC présenté à l’IDS2015, on est dans une forme plus évoluée de reconstruction que la reconstitution informatique par biogénérique ou par bases de données. Ici, toute la zone scannée de l’arcade du patient est utilisée comme base pour la restauration. Cela signifie que le système enregistre toutes les dents existantes dans la mâchoire supérieure et inférieure afin de développer une proposition
qui est optimisée au maximum par rapport aux dents existantes du patient. La reconstruction finale est également caractérisé par une anatomie naturelle tant au niveau de la face occlusale que des contours. La première proposition permet d’éviter les retouches au niveau de la conception puisque celle ci est déjà complètement optimisée.