Dépose d’Amalgame dentaire : la prescription de détoxication

La prescription proposée habituellement pour accompagner la dépose d’Amalgame dentaire afin d’aider l’organisme a la détoxication du mercure se compose principalement de 3 produits naturels reconnus par tous les praticiens en médecine dentaire holistique.
-Chlorella
-Coriandre
-Ail des ours
En médecine conventionnelle, le traitement de détoxication des métaux lourds se fait principalement par des agents chélateurs chimiques qui sont des antidotes à l’intoxication par le mercure : le DPMS et le DMSA. Nous nous intéresserons également à l’Exo Mercur, le nouveau produit développé par le Dr Montain, docteur en Chirurgie Dentaire à Paris et Naturothérapeute.
Nous n’aborderons pas ici les symptômes, le diagnostic des signes cliniques qui sont bien développés ailleurs et la question des tests et prélèvements (Test sanguin de type Melisa ou analyse des urines, selles, cheveux et salive du Medizinisches Laboratoire de Bremen).

Selon le Dr en médecine Dietrich Klinghardt M.D., (PH.D, Seattle, WA) , ” Il existe aussi un effet de synergie entre les méthodes efficaces de traitement. On a souvent mal compris ce message. Les gens se penchent sur l’ail des ours, en prescrivent et disent : « le mercure ne s’en va pas ». Ou bien, ils donnent des doses massives de Chlorella, surveillent le mercure et rien ne se passe. Mais tous ceux qui ont étudié mon programme donnent en même temps de la coriandre, de la Chlorella et de l’ail des ours. Là, le mercure sort et en grande quantité. Il sort par la respiration, par la peau, dans les selles et les urines. Si l’on omet l’un des trois produits, alors rien ne sort. C’est ça l’effet de synergie entre les méthodes efficaces et le traitement.” Dans ses conférences il aborde en premier lieu la question de la dépose de l’amalgame dentaire. “Les principes de la désintoxication sont toujours d’actualité. Le premier : éloigner le patient de la source d’empoisonnement ou bien, éloigner cette source du patient. C’est l’étape n° 1 en toxicologie, le premier chapitre de n’importe quel bon manuel de toxicologie. Dans le cas d’un empoisonnement au mercure, en général, il faut enlever les amalgames car ils contiennent 50% de mercure qui s’évapore lentement et est absorbé par le cerveau. C’est une vérité qui ne se discute plus désormais, en tout cas plus dans les milieux scientifiques.” “On parle aujourd’hui de « neurotoxin mediated chronic invest » Cela veut dire que beaucoup de maladies chroniques sont induites, aggravées ou causées par les neurotoxines. Les neurotoxines sont des métaux lourds. Les métaux lourds ne sont pas des carcinogènes mais des neurotoxines c’est-à-dire des poisons du système nerveux. Nombreuses substances chimiques que nous connaissons sont aussi des neurotoxines. Les neurotoxines sont filtrées en permanence par le foie et transportées dans l’intestin par la bile. 100% d’entre elles sont réabsorbées lors de ce parcours formant ainsi dans le corps un cycle sans fin et le maintenant dans un état de maladie chronique. Si on parvient à interrompre ce cycle chronique, par l’adjonction dans l’intestin de produits qui captent les neurotoxines, leur quantité est réduite de façon massive et on peut assister à une guérison très rapide de maladies chroniques sérieuses.” (Dr Dietrich Klinghardt – conférence 31 Otobre 2001). Dans le protocole de dépose, on conseille aussi de prescrire du charbon laxatif (0,5 mg) à prendre ј d’heure avant la dépose. (source SevaOnline.com)

LA CHLORELLA
La chlorella. Une algue d’eau douce, chlorella pyrenoïdosa. Elle est très riche en oligo-éléments et vitamines (Vit. A, bétacarotène, B1, B2, B3, B5, B6, B8, B9, B10, B12, C), en oligo-éléments (calcium, phosphore, iode, magnésium, fer, zinc, cuivre) et d’autre substances nutritives (cholorphylle a et b, inositol, etc…) La membrane de cet organisme unicellulaire contient des polysaccharides capables d’absorber les métaux lourds (pas seulement le mercure!). Absorbée par la bouche, elle attire le mercure vers elle et augmente ainsi l’excrétion de ce dernier par les selles.
Selon le Docteur Christophe GIRARDIN-ANDRÉANI, chirurgien dentiste, diplômé de la faculté de chirurgie dentaire de Nancy et de la faculté de médecine de Lyon, chercheur en phytothérapie.
“La chlorelle est une algue microscopique vieille de plus de trois milliards d’années et qui au fil des temps a su se doter, pour survivre, de tout un arsenal physico-chimique des plus efficaces : vitamines (C, E, du groupe B) oligo-éléments (fer, calcium, potassium, magnésium) anti-oxydants (bêta-carotène).
Mais son action purifiante, détoxiquante et régénérante – notamment pour le foie – c’est à trois éléments spécifiques qu’elle les doit :
– La chlorophylle
Depuis de nombreuses années les phytothérapeutes la préconisent pour nettoyer tout le système digestif
– Le CGF ou facteur croissance chlorelle
A base d’acides nucléiques, il est un puissant régénérant cellulaire, capable selon le Docteur Jensen (Escondido, California, USA) « d’accélérer le taux de guérison de n’importe quel foie endommagé ».
– La membrane cellulaire
Non digérée par l’être humain car riche en cellulose, elle fixe toxines et métaux lourds et en accélère l’élimination. Son efficacité a même été récemment démontrée sur la dioxine (Professeur Morita K., American Journal of Nutrition, 1999).” ‘(Source HomeoPhyto.com)
Selon Léopold Grégoire JATON – (Médecin-Dentiste & Naturopathe à Prilly – Suisse )
“Dans le cas de dépose des amalgames dentaires, en fonction de la concentration des tablettes (160, 200 ou 250mg/tbl.): commencer avec 3×5 tbl./jour ce qui représente un dosage moyen pour commencer. Attention: Si les symptôme de la personne augmentent ce traitement, il faut augmenter les doses (doubler, voire tripler la dose): cela veut dire que l’élimination du mercure depuis les différents tissus a commencé: pour certaines personnes il est mieux de prendre toute la dose en une fois au coucher. En cas de dépose d’amalgame il faut aussi doubler la dose pendant 3-10 jours après chaque dépose. La chlorella existe aussi sous forme de poudre: on peut ainsi traiter des bébés, en la mélangeant aux bouillies ou au lait; sinon il faut écraser les tablettes au mortier pour ceux qui ne peuvent pas avaler les tablettes. Il se peut que le dosage journalier monte jusqu’à 60 tablettes par jour ou davantage!”
Selon le Médecin-Dentiste Suisse Dr Crottaz. CHLORELLA PYRENOIDOSA (micro-algues d’eau douce : BIOREURELLA ou ALGOMED) est fournir en capsule de 0,25 g.)
Elle doit être prise Ѕ heure avant les repas.
– Commencer idéalement 6 semaines, au mieux 2-3 semaines avant la 1 ère dépose.
– 4 x 5 cp. par jour Ѕ heure avant les repas. Les rares cas de faible intolérance ont
souvent pour origine une association avec certains aliments (produits laitiers par ex.) ;
prendre alors les cp. de chlorella indépendamment de tout autre aliment.
– le jour de la dépose : 4x 20 cp. et encore une fois 20 cp. le lendemain matin.
– en cas de fortes réactions (en dépit des précautions prises au fauteuil), augmenter assez
fortement la dose habituelle : prise de 40, 50, voire 60 cp. d’un coup et si nécessaire renouveler jusqu’à disparition des symptômes. Cela peut parfois prendre 2 ou 3 jours !
– revenir progressivement à des seuils inférieurs dès que tout rentre dans l’ordre : 5 ou 10 cp. 4 x par jour, de manière à se ménager une marge exploitable en cas de symptômes
récurrents.
– ces chiffres sont à considérer comme une moyenne et ne sont pas forcément à prendre au pied de la lettre. Chaque individu réagit différemment, comme lors d’une prise de médicament (ce que la chlorella n’est pas, rappelons-le).”
Selon le Dr Dietrich Klinghardt en cas de maladies chroniques sérieuses il faut en consommer 4x/jour. , les doses sont plus élevées que ce que nous avions cru au départ. On commence en général avec 5-6 gr 4x/jour pendant 6 semaines. Au cours de ces 6 semaines, la quantité de neurotoxines qui circulent est diminuée de 90%. On observe des améliorations incroyables sur un temps court lorsque les doses sont importantes.” Il présente aussi ce cas clinique “Chez les patients prenant de la Chlorella et ayant, en moyenne, 12 amalgames, on trouve environ 50 µgrammes de mercure par kilo de selles. Le fils d’un ami, hyperactif, âgé de six ans, n’avait aucun amalgame. Je lui prescrivis de la Chlorella, à raison de six comprimés par jour. Lors des analyses des selles, on a trouvé 50 µgrammes de mercure par kilo de selles. Le mercure venait de sa mère. Il faut relever que, parallèlement à la Chlorella, il prenait de la coriandre. Il fut guéri de son hyperactivité après six mois. On a découvert que la Chlorella et l’ail nettoient les vaisseaux sanguins. Le mercure, ainsi mobilisé, est emmené dans les intestins. Là, il se lie à la membrane de la Chlorella qui est en “attente” dans l’intestin. Ce sont les polysaccharides qui se lient fortement au mercure. La Chlorella a aussi la propriété de mobiliser le mercure dans les tissus non nerveux. Ainsi, la chélation se déroule comme suit : La Chlorella mobilise le mercure dans les cellules non nerveuses. Le métal passe ensuite dans le sang qui le conduit à l’intestin. Il est ensuite évacué du corps. Cela signifie qu’avec seulement deux substances, nous avons fait un pas décisif dans le processus de désintoxication. Une étude, faite en Chine, montre la chose suivante : lorsqu’une personne prend tous les jours de la Chlorella en quantité moyenne, on ne décèle plus de trace de métaux lourds dans ses cellules.
Selon le Dr méd. Dietrich Klinghardt, “si on en enlève quatre à cinq Amalgame le même jour, je conseille au patient
d’avaler vingt comprimés juste avant la consultation. Juste après, quand les amalgames sont enlevés mais que le dentiste n’a pas encore posé les nouvelles obturations, je conseille de faire un bain de bouche d’une dizaine de minutes avec de la Chlorella diluée dans de l’eau. Ensuite, le patient doit soigneusement recracher ce liquide et bien se rincer la bouche. Lorsque le patient sort de chez son dentiste, il devrait prendre vingt comprimés de Chlorella. Il fera de même encore le soir de l’intervention et le lendemain matin. Le Dr Omura et moi-même conseillons donc, lors de l’extraction d’un amalgame, de faire ce bain de bouche durant quelques minutes. Ceci pour extraire un maximum de métaux lourds des petits canaux de la dentine. Cette façon de faire est formidable car nous n’assistons plus à l’effondrement du patient comme c’était souvent le cas. Nous avons encore découvert que la Chlorella est à même de traiter rapidement les tatouages, dus aux amalgames, souvent situés sur les gencives. Il suffit au patient de mettre de la poudre de Chlorella sur des bâtonnets ouatés, ceux que votre dentiste utilise, et de les poser sur les gencives une dizaine de minutes. Si on applique ce traitement deux fois par jour, les tatouages disparaissent rapidement, souvent en deux à trois jours.” Pour le dr Klinghart des doses “Flash” sont pérérables a de faibles doses répétées qui risque d’augmnter les risque d’allergie et se montreront au final inefficace. “J’aime donner la chlorella pendant trois ou quatre jours à forte dose et ensuite plus du tout. Puis, toute les deux semaines, je la redonne pendant trois ou quatre jours à doses très élevées et ensuite je fais à nouveau une pause. Et c’est la même chose avec les autres agents. Il est généralement mieux de donner des agents naturels à doses très élevées pendant des périodes très courtes car cela empêche le patient d’avoir des allergies. Connaître ces principes rend la détoxification sans danger. Si le patient a une crise, on vérifie le traitement et on trouve très vite le problème. Cela prévient également le déclenchement de libération de substances toxiques pendant de longues périodes. Si le patient a une crise, on vérifie le traitement et on trouve très vite le problème. Cela prévient également le déclenchement de libération de substances toxiques pendant de longues périodes. L’organisme a besoin d’un break et durant un break vous utilisez différents agents. J’en utilise quatre ou cinq différents pendant un, deux, trois ou quatre jours, puis un autre pendant deux, trois ou quatre jours et, au bout d’un moment, le premier agent revient”
Toutefois, nous avons pu relevé quelques témoignage de patient qui se sont plaints d’effets secondaires (sans que l’on puisse savoir si cela était du à une erreur de dosage ou au produit lui même) avec ce produit et nous avons put lire un mauvais rapport au sujet de la Chlorella ; nous vous le livrons tel quel : “Dans toute la littérature, vous lisez qu’il faut donner de la chlorella pour chélater les métaux lourds et je crois que c’est une erreur. Souvent, ce sont des non médecins qui utilisent ce traitement : ils n’osent pas utiliser le traitement au DMSA. La chlorella est toxique pour deux raisons : c’est une algue qui se charge beaucoup en mercure et il semblerait qu’elle soit elle-même naturellement chargée en mercure. Tous les patients que je connais et qui ont essayé la chlorella (parce qu’ils ont voulu aller trop vite) ont toujours eu des effets secondaires très négatifs à cause de ce produit. Le DMSA, en général, bien donné, donne de meilleurs résultats et moins d’effets secondaires que cette fameuse chlorella.” (1)
D’autre part toujous selon Klinghart “l’algue chlorella est idéale pour débarrasser complètement l’intestin de tous les métaux toxiques mais elle sera peu efficace sur du mercure logé dans le cerveau.”

LA CORIANDRE
Selon Léopold Grégoire JATON – (Médecin-Dentiste & Naturopathe à Prilly – Suisse )
“Le Coriandre. Utilisé soit en teinture-mère (teinture-mère Ceres = 4 gouttes dans un verre d’eau, 1 x par jour, le matin ), ou en dilution spagyrique (2). La coriandre est capable de s’attaquer au mercure intracellulaire. A donner en moyenne au début 2×5 gouttes, ensuite on peut augmenter. Rarement indiqué avant la dépose d’amalgame (contrairement à la Chlorella), mais utile en général dans la deuxième phase de traitement.”
Selon le Médecin-Dentiste Suisse Dr Crottaz. “La Coriandre doit être utilisée en teinture mère, au début des repas
On ne doit toutefois jamais commencer sa prise avant la fin des déposes d’amalgames.
– débuter très prudemment par 1 goutte par jour, puis 2 ou 3 ou 4 x 1 goutte par jour.
– si tout se passe bien, on peut augmenter jusqu’à 4 x 10 gouttes par jour, en étant bien conscient qu’en mobilisant beaucoup de métaux lourds, il faudra d’autant plus de chlorella pour l’éliminer.
– encore une fois, tout ceci est à évaluer de cas en cas : certaines personnes réagissent très fortement, d’autres très peu. A chacun de s’observer et d’adapter ses doses en fonction de ses réactions.”
Le Dr méd. Dietrich Klinghardt témoignait ainsi dans sa conférence : “Mon ami japonais de New York, le docteur Yoshiaki Omura. Ils se sont injecté du thallium radioactif. Cela permit de voir où le thallium se déposait dans le cerveau. Le thallium a une demi-vie de quelques jours, il devrait avoir quitté le corps après quelques semaines. Yoshiaki Omura découvrit que, seulement sur sa personne, le thallium disparaissait dans les 24 heures. Chez les autres volontaires, on en trouvait encore après six semaines. Il s’est alors demandé pourquoi le thallium avait été mobilisé seulement chez lui. Il mit deux ans à trouver la réponse. C’était grâce à sa soupe de poulet à la coriandre. La coriandre est souvent utilisée en cuisine japonaise. Il avait passé en revue tous les éléments de sa nourriture pour arriver à ce résultat. Ce que nous savons à ce jour, est que les substances aromatiques de la coriandre ont la propriété d’ouvrir les canaux ioniques, permettant ainsi aux métaux lourds de sortir. On venait de franchir une étape très importante, car on n’avait pas encore trouvé de substance ayant de telles propriétés. On ne doit utiliser la coriandre qu’en fin de traitement, quand on a déjà évacué une certaine quantité de métaux lourds. A ce stade du traitement, le mercure est sensiblement plus concentré dans le cerveau que dans le reste du corps. Les symptômes neurologiques du patient nous permettent de déceler cet état. Certains de mes collègues crurent, à tort, qu’en administrant de la coriandre à leurs patients, ils trouveraient des traces de métaux lourds dans l’urine. La coriandre ne provoque qu’un déplacement du mercure dans les tissus conjonctifs. Aucune autre substance ne provoque ce déplacement. Beaucoup de thérapeutes cherchent des traces de mercure dans l’urine après une prescription de coriandre, c’est une erreur. Si nous ajoutons des substances telles que la Chlorella, l’ail des ours et le DMPS, les métaux lourds se déplaceront dans les vaisseaux sanguins. C’est seulement à ce stade qu’on peut les détecter dans le sang.” (Conférence 14 Mai 1998 à l’école Polytechnique de Zurich)

L’AIL DES OURS
L’ail contient le minéral le plus important qui protège de la toxicité du mercure, le sélénium bioactif. La plupart des produits contenant du sélénium sont mal absorbés et n’atteignent pas les régions du corps qui en auraient besoin. Le sélénium de I’ail constitue la source biologique naturelle la plus bénéfique à notre disposition. L’ail contient de nombreux composés soufrés, dont le groupe remarquable des sulph-hydryl qui oxydent le mercure, le cadmium et le plomb en les rendant solubles dans I’eau. Il est alors facile pour I’organisme de se débarrasser de ces substances.
L’ail contient également I’alliine qui, à l’aide d’une enzyme, se transforme en allicine, “agent antimicrobien naturel le plus puissant”. Or les patients intoxiqués par les métaux souffrent presque toujours d’infections secondaires, qui sont souvent la cause d’un certains nombre de leurs symptômes.
Il est utilisé soit en teinture-mère (Ail des ours : teinture-mère Ceres = 4 gouttes dans un verre d’eau, 3 x par jour ), soit en spagyrie(2), soit même sous forme d’aliment. Ce sont les acides aminés soufrés qui transportent les métaux lourds hors du corp. L’ail se lie facilement au mercure et fait sortir ce métal des reins et du sang. L’ail des ours est bien supporté par l’organisme, ne provoquant pas d’effets secondaires. Selon le Dr Chattaz, après s’être accoutumé quelque temps à la chlorella, on peut y ajouter l’ail des ours. Il conseille une posologie de 1 ou 2 cp. 4 x par jour. “En en cas de problèmes,” dit il ” interrompre l’ail des ours et ne prendre que la chlorella, puis quand tout est rentré dans l’ordre, reprendre la prise d’ail des ours tout d’abord à faible dose” (1 puis 2 cp. par jour) et augmenter progressivement. Le Dr Klinghart, lui, conseille 1-3 capsules d’ail lyophilisé après chaque repas. Commencer par une capsule par jour après le repas principal, augmenter progressivement vers une posologie plus élevée. Au début, le patient peut ressentir des malaises (en raison de la destruction des mycoses pathogènes ou des bactéries). Verser 5-10 gouttes d’ail des ours sur la nourriture au moins 3 fois par jour.

LES CHELATEURS
Pour être un bon chélateur du mercure, une molécule doit comporter deux groupements thiols. Trois composés répondent à cela
-le DMPS, plutôt réservé aux adultes et très peu utilisé chez les enfants.
-le DMSA est utilisé chez l’enfant et a reçu l’approbation de la FDA (Food and Drug Administration) pour l’intoxication au plomb. Le DMSA ne chélate pas seulement le plomb mais aussi très bien le mercure et est soluble dans l’eau, très peu dans les lipides. C’est pour cela que l’on va l’associer à
-l’acide alphalipoïque, qui est liposoluble et traverse très bien la barrière encéphalique. Associé au DMSA, il va pouvoir retirer le mercure du cerveau. Les reins sont rapidement agressés si la chélation n’est pas bien suivie. Les organes d’excrétion sont la peau, les poumons, les reins et l’intestin. Le foie a un rôle primordial puisqu’il métabolise toutes les toxines. Plus la personne est intoxiquée, plus le foie est touché. Avant de relâcher (par chélation une charge de métaux lourds, il faut s’assurer qu’ils ne sont pas simplement mis en circulation et qu’ils ne changent pas tout simplement de place ! Il faut s’assurer aussi que tous les organes d’élimination sont opérationnels. D’autre part, il est impératif d’apporter un supplément de minéraux les jours suivant la chélation et de mettre l’accent sur les minéraux qui manquent le plus, particulièrement le zinc, indispensable à la synthèse des enzymes digestives. La chélation des métaux ave cle DMSA et le DMPS s’étale sur une longue durée. Il est recommandé d’utiliser de la vitamine C à forte dose, du glutathion et de l’acide lipoïque, trois excellents neutralisateurs de tous les radicaux libres.
Ils sont réservés sur ordonnance aux intoxications lourdes avec maladies chroniques liés au mercure.
Le DMPS et le DMSA sont des “antidotes” chimiques contre le mercure. Ils capturent le mercure et le force à être excrété, de ce fait abaissant la charge de mercure dans l’organisme. Pourrait causer des effets secondaires non-désirés
(Englund 1994). En situation aiguë, DMSA (méso-2,3-acide dimercaptosuccinique) ou DMPS (dimercaptopropone-1-sulfonate) ont été utilisés avec succès pour sauver des vies. Le DMSA, originaire de Chine, qui est un chélateur oral. Cette substance désintoxique presque aussi bien que le DMPS. Elle s’attaque aussi aux métaux lourds présents dans le cerveau. On doit l’utiliser seulement en fin de traitement.
Ils éliminent principalement le mercure facilement accessible (=extracellulaire et à l’extérieur du système nerveux central (SNC / CNS) de votre corps. Ils fonctionne bien, et est “à la fine pointe”, pour les intoxications élevées et moyennes. Dans les maladies en relation avec l’amalgame ses effets positifs restent à être prouvés. Englund (1994) a adminsitré oralement 20 mg / kg de DMSA ou placebo durant 14 jours sur un total de 20 individus suspectant avoir une/des maladie(s) (non-allergique-) en relation avec l’amalgame.
Les membres de la “Swedish Association of Dental Mercury Patients” parlent de la manière suivante des effets du DMSA et DMPS.
“… Quelques patients se sentent beaucoup mieux, d’autres plus mal en point, souvent seulement
temporairement. Quelques-uns ont expérimenté des effets négatifs durant longtemps…”
(Tandvardsskadeforbundet 1993).
“Pour ne pas enlever les métaux utiles au corps” précise Kierghart, “avant la première injection, nous analysons le sang afin de détecter les éléments-traces bénéfiques (fer, magnésium, calcium, cuivre, sélénium, etc). L’analyse du sang après l’injection nous indique quels métaux doivent être administrés au patient.

LA VITAMINE C.
Il y a quelques rapports, publiés dans des médias non-scientifiques comme Queen (1991), que les personnes, suspectées ayant une/des maladie(s) en relation avec l’amalgame, peuvent bénéficier d’administration intraveineuse d’à peu près .075 g de vitamine C / kg par poids corporel durant quelques heures, spécialement durant la dépose des amalgames. Il semble qu’il y ait eu très peu de recherches publiées sur le sujet. Un article (Dirks 1994) déclare qu’il n’a pas été démontré que l’excrétion de mercure dans l’urine a augmenté durant les 24h qui ont suivi l’absorption de vitamine C comme décrit ci-dessus. Un article (Hall 1994) en provenance d’une conférence a déclaré qu’il y a une, jusqu’à 100 plis (* = fold), augmentation du mercure dans les selles, mais pas dans l’urine, après une telle administration de vitamine C comme décrit ci-dessus. Selon le Dr Klinghart Si la vitamine C lors du programme de désintoxication, doit être prise aussi loin que possible de la chlorella (après les repas de préférence).

LA VITAMINE B
Plusieurs cas cliniques ont démontré que la vitamine B12 pouvait être particulièrement importante pour faire diminuer les symptômes de la sclérose en plaque (SP) surtout s’ils sont associés à un empoisonnement au mercure dentaire.
Le Dr Patricia Kingsley (Leicestershire, Royaume-Uni), une spécialiste de la nutrition et de la médecine environnementale qui a traité au-delà de 2000 personnes atteintes de SP, prescrit parfois des doses aussi élevées que 12,000 microgrammes de vitamine B en intraveineuse une fois par semaine pour « drainer » le mercure.
Toutefois, les doses habituelles sont de 4,000 à 8,000 microgrammes en intramusculaire, jusqu’à ce que les tests de mercure soient négatifs.
Selon ce médecin, peu de spécialistes accordent de l’importance à la vitamine B parce que la SP est une maladie du système nerveux central et que les patients souffrant de SP présentent des taux normaux de B dans le plasma sanguin. Cependant, des études ont montré que ce niveau de B dans le liquide cérébro-spinal de patients atteints de SP est inférieur à celui de groupes contrôle

LE SELENIUM
Le sélénium est un élément qui peut exister sous plusieurs degrés d’oxydo-réduction : à l’état élémentaire Se, par perte d’électrons sous forme cationique Se4+ ou sélénite, Se6+ ou sélénate, par gain d’électrons sous forme anionique Se2- ou séléniure. La forme la plus courante est le sélénite Se4+. Dans l’organisme, le sélénium est lié à des molécules organiques sous forme R-SeH ou R-Se-R’. La forme R-SeH est équivalente à R-SH, groupe thiol. Il peut également exister sous forme méthylée R-Se-CH3.
Une importante propriété du sélénium mise en évidence au cours de ces dernières années est son pouvoir antitoxique en cas de pollution par le cadmium, l’arsenic, l’argent, le cuivre et le mercure. Plusieurs recherches sur des animaux nourris de thon contaminé au mercure méthylique ont fait apparaître le sélénium comme un agent protecteur efficace.
En outre, il protège contre l’intoxication en favorisant l’élimination par voie urinaire de nombreux métaux toxiques parmi lesquels le mercure, le cadmium, l’arsenic, le plomb, l’argent et le cuivre.
La posologie indiquée pour déposer les Amalgames (pour un patient en bonne santé) est 1 à 3 boites (1 ampoule par jour SÉLÉNIUM OLIGOSOL (Ampoule buvable 100mg), diluer dans un verre d’eau, en dehors des repas).
Mais la capacité du Sélénium de faire sortir le mercure de l’organisme et de le détoxifier ne serait pas vérifié dans toutes les études scientifiques. Le Sélénium au contraire agmenterait l’absorbtion de mercure au niveau du cerveau. Une étude (Arch Toxicol, 1977 Sep, 38:3, 201-7) a montré que 24 h après administration sous cutanée de O,5 micromoles de Selenite (75Se) et d’une solution équimolaire de Methylmercure à des rats la rétention de Methylmercure Me203HgCl, n’était pas affectée par la présence de Sélénite. On a assisté à une décroissance significative de Mercure dans le sang et une augmentation de Mercure dans le cerveau. Une autre étude sur des cochon d’inde (J Toxicol Environ Health 1983 Oct-Dec;12(4-6):775-85) a confirmé la persistance d’un taux de Mercure élevé au niveau du cerveau alors que le taux de Mercure diminuait dans tous les autres organes.

L’EXO MERCURE
“Cette formule a été mise au point par le docteur Montain, un des premiers à dénoncer publiquement les méfaits du mercure présent dans les amalgames dentaires. Présenté sous forme de gélules, ce complément alimentaire contient en particulier : du sélénium, chélateur spécifique des métaux lourds du gluconate de zinc. Le zinc est un excellent immunostimulant. Le gluconate étant ici aussi la forme la plus assimilable par l’organisme de la vitamine E(tocophérol). C’est la vitamine antioxydante par définition. Elle permet de métaboliser les acides gras insaturés(vitamine F) et protège la vitamine A. du sulfate de manganèse. Le manganèse se combine avec une grande facilité
avec le mercure. des extraits complets de pin sylvestre, stimulant des glandes corticosurénales qui favorisent l’expectoration. des biflavanoïdes de citron, un tonique veineux et antioxydant. de l’acerola, à haute teneur en vitamine C. de l’extraits de pépins de raisins : les polyphénols de pépins de raisins sont des anti-radicalaires concentrés et ils sont considérés comme plus puissants que la vitamine C et E. de la béta-carotène qui a une forte action enzymatique et favorise la désintoxycation. La société LPAE qui produit Exo-mercur, peut vous orienter vers un laboratoire allemand situé à Brème qui peut procéder à des analyses sur les cheveux, les selles…. avant et aprés traitement
mode d’emploi voie orale : 2 gélules le matin pendant un mois, puis une par jour pendant 2 mois bain de bouche : à base d’huile essentielle de coriandre. Une cuillère à café dans un verre d’eau tiède. Se rincer la bouche 5 minutes maximum.” (Source : Santé Pratique)

LES REGIMES ALIMENTAIRES PENDANT LA PHASE DE DETOXIFICATION
Selon Léopold Grégoire JATON – (Médecin-Dentiste & Naturopathe à Prilly – Suisse )
les végétariens souffrent souvent davantage de leurs amalgames et lors de la dépose de ceux-ci, surtout si leur alimentation est trop pauvre en protéines; il est donc important de veiller à une alimentation riche en protéines lors de cette désintoxication, sinon on risque de transférer le mercure vers le système nerveux (penser aux légumineuses + hydrates de carbone pour ne pas compenser avec les produits laitiers; de même la famille des choux est riche en groupes soufrés).
Selon le Dr Montain, des régimes alimentaires devront parfois être élaborés et adaptés à chaque cas particulier. En cas d’intoxication par le mercure dentaire, on fera bien de suivre un régime sans gluten et sans caséine (pas de produits laitiers et pas de farineux à gluten comme le blé, le maïs, etc…préférant le riz ou le quinoa à d’autres céréales). On devra consommer des huiles végétales vierges, première pression à froid et 30% environ en poids de son alimentation en protéines, de préférence celles des poissons blancs et plats comme la sole, la limande, etc…
Les praticiens insistent aussi sur la nécessité d’un régime riche en antioxydant (vitamines C), fruits, légumes.

Autres
Citons encore diverses substance utilisées selon les cas par les praticiens en détoxication du mercure dentaire
-La mélatonine – disponible en vente libre aux Etats-Unis – puissant antioxydant du système nerveux central – Ѕ à 10 mg au coucher
-L’acide alpha-lipoique – traverse la barrière hémo-encéphalique et pourrait retirer le mercure du cerveau – 100 à 600 mg/jour
-La dl-méthionine (Redoxal) – 500 mg trois fois par jour
-Enzymes digestives – pour délier le mercure des protéines – entre les repas
-Citrates de minéraux (Citramin, Erbasit)- afin de remplacer les minéraux relâchés par la présence du mercure – au lever et au coucher
-Cystéine N-Acétyl-Cystéine (NAC) (non avéré selon différents auteurs car ils ne contiennent qu’un seul groupement thiol, donc ne sont pas capables de prendre le mercure en tenaille et ensuite ils provoquent un très mauvais rapport sulfates/cystéine, avec une augmentation de la cystéine, et la cystéine peut aggraver la dysbiose urinaire.)
-Autres compléments alimentaires à pouvoir détoxifiant sur les métaux lourds : on recommande parfois le gluthation, un antioxydant qui se lie directement au métal, et la métallothionéine, une protéine qui enveloppe les métaux tout en respectant l’équilibre entre le cuivre et le zinc. La méthionine, un acide aminé que l’on trouve dans la viande et les haricots, se transforme en cystéine qui à son tour devient du gluthation, de la métallothionéine et de la taurine, excellents pour la détoxication et l’absorption du calcium. Pour favoriser le processus de désintoxication, la vitamine B6 (sous sa forme P5P) le magnésium, le zinc, la vitamine B12 , l’acide folique et la taurine sont efficaces. Une mise en garde, cependant, à l’égard de la cystéine : en se liant au mercure, elle peut favoriser le déplacement du métal vers le cerveau. Elle peut aussi aggraver les candidoses. Son emploi requiert donc une supervision médicale. La vitamine C, E, et le calcium sous forme de citrate sont également de bons agents de détoxication. Il y a aussi de très mauvais chélateurs.

RISQUES DIVERS

1°) Il y a des risques inhérents à la dépose des amalgames de par l’augmentation du risque d’ingestion ou d’inhalation de mercure. La dépose devra être faite selon un protocole et avec un matériel précis que nous décrirons dans un prochain article. Dans son rapport sur les risques liés aux amalgames dentaires, l’association Dentaire Française déconseille toute dépose d’Amalgame sur des femmes enceintes.

2° )Il y a des risque d’effets secondaires liés à l’action des chélateurs.>
Le Dr méd. Dietrich Klinghardt soulève les problèmes suivant : “En fait, il y a deux problèmes fréquents. L’un, lorsque vous prenez un agent détoxifiant qui déclenche, par exemple, la libération du mercure, il crée une condition de réflexe. Cela veut dire que l’organisme va penser que l’agent détoxifiant est en fait une toxine. Quand le métal sort du corps, au moment où l’agent détoxifiant se lie au métal, un état d’alarme se déclenche. Les gens deviennent très souvent réactifs aux agents détoxifiants les plus efficaces. Ils ne les supportent pas. Il faut dans ce cas, après une première phase de traitement, attendre six semaines pour que l’organisme oublie et ensuite vous pouvez recommencer le traitement.
L’autre problème est que la plupart des substances ont deux fonctions. L’une, la mobilisation, déclenche la libération de la toxine de l’endroit où elle est cachée dans l’organisme. La mobilisation devrait conduire à l’excrétion de la toxine mais elle peut également aboutir à une redistribution. L’organisme a fait du mieux qu’il pouvait en stockant la toxine à un endroit. Par la mobilisation, nous disons à l’organisme que nous savons mieux que lui où placer la toxine. En fait, nous ne le savons pas. Maintenant, vous interrompez le travail de l’organisme.”
“Prenons le cas d’un patient dont le système nerveux est encore assez peu atteint, mais dont les autres tissus contiennent déjà des métaux lourds. Il peut être très dangereux d’utiliser un chélateur dans ce cas. En effet le mercure, lié au chélateur risquerait, transporté par ce dernier, d’entrer dans les cellules nerveuses du cerveau. Si les étapes de la chélation ne sont pas suivies consciencieusement, on met la vie du patient en jeu. D’où l’importance d’une bonne compréhension du fonctionnement de la chélation. Lorsque l’on commence un traitement par chélation, il faut d’abord créer un gradient osmotique (gradient = variation progressivement décroissante à partir du point maximal d’une substance ou d’une propriété physiologique dans une cellule ou un organisme). Ceci afin d’enlever un maximum de mercure avant qu’il ne parvienne au cerveau. Ainsi, une fois administré, le chélateur, ne trouvant rien à nettoyer dans les tissus, ira agir dans les cellules du cerveau. Il ouvrira ainsi, à l’aide d’autres substances, la barrière au mercure lui permettant, par osmose, de se répandre à nouveau dans les autres tissus qui eux, sont beaucoup plus faciles à nettoyer. Ainsi, il est important de respecter l’ordre suivant dans les étapes : nous administrons d’abord des substances qui nettoient les vaisseaux sanguins, sortant ainsi les métaux lourds du corps. Pour ce faire, nous utiliserons deux substances : L’ail et la chlorella (décris plus haut)

3°) Risque infectieux
“Avant, on traitait la syphilis avec du mercure. La syphilis, ce sont des spirochètes, des bactéries. On sait donc depuis que le mercure empêche le développement de
certaines infections. Que se passe-t-il avec ses bactéries si j’enlève le mercure ? Elles vont se multiplier et le problème majeur auquel sont confrontés les gens lors d’une désintoxication aux métaux lourds, quand ils se désintoxiquent efficacement, c’est que soudain les infections apparaissent. C’est un problème qui en a fait reculer beaucoup. Beaucoup de praticiens et beaucoup de patients, parce qu’ils ne l’ont pas prévu et qu’ils sont surpris alors ils paniquent et ils commencent autre chose au lieu de continuer à traiter de manière résolue. C’est important de prévoir. Au cours de chaque désintoxication de métaux lourds, on assiste à une phase où toutes les infections chroniques que nous avons ressortent ; les virus, les bactéries, les mycoses, les mycoplasmes. Et il faut les traiter aussi ! On utilise pour cela uniquement un processus biologique. On peut prendre des antibiotiques ou des antiviraux ; ça marche aussi. Dans ce cas, j’applique la médecine académique qui est efficace.
Ceci est important : il n’y a pas de désintoxication de métaux lourds sans l’apparition d’infections. La plupart du temps, c’est la vue qui se trouble, les maux de tête, les reins sont douloureux, on a la diarrhée, une fatigue chronique, des
courbatures, tout d’un coup tout fait mal. Ou bien c’est la maladie dont on est déjà atteint qui semble s’aggraver. Ce qui est bien, c’est que comme ça, on sait qu’on évacue vraiment des métaux lourds. L’étape suivante, c’est le traitement de ses infections ; c’est très, très simple car en l’absence des métaux lourds, les infections répondent très facilement aux thérapies biologiques alors qu’en présence de métaux lourds, les traitements ne marchent pas ; les infections ne peuvent pas être traitées.”

SOURCES ET REFERENCES :
Dr Dietrich Klinghardt et Dr Patricia Kane, conférence donnée le 31 octobre 2001 à l’École
Polytechnique Fédérale de Zürich (en allemand et anglais, mais avec une traduction
simultanée en français).
Docteur Christophe GIRARDIN-ANDRÉANI, chirurgien dentiste, diplômé de la faculté de chirurgie dentaire de Nancy et de la faculté de médecine de Lyon, chercheur en phytothérapie.
Docteur Christophe Girardin-Andréani, Spirulina Corsa / Phytocorsa 04 95 71 23 32 / 06 83 75 85 12
Adresse électronique Cgagostina@aol.com
Léopold Grégoire JATON – Médecin-Dentiste & Naturopathe
Ondine 8 – 1008 Prilly – Suisse – Tél.: + 41(0)21.634.38.00
Dr Crottaz http://www.crottaz.ch
Dr Montain Docteur en chirurgie-dentaire, Diplômé en Médecines Naturelles, Naturothérapeute , Psychologue médical
http://www.docteur-bernard-montain.com/home/Danger_plombage.htm
http://nonaumercuredentaire.free.fr/
cas cliniques http://nonaumercuredentaire.free.fr/casclini.htm
http://www.amalgam.org/
http://www.nutranews.org/fra/index.php?articleid=3623
études sur le Sélenium dans la détoxification
Toxicol Lett 1981 Apr;8(1-2):43-8
Ecotoxicol Environ Saf 1984 Dec;8(6):572-80
Arch Toxicol 1980 Dec;46(3-4):273-6
Ecotoxicol Environ Saf 1984 Dec;8(6):572-80

Notes :
(1) http://filariane.org/FRA/METAUX.HTM
(2) La fabrication des essences spagyriques :
Le nom « Spagyrie » provient de deux racines grecques « spân », qui signifie extraire et « ageiren » qui veut dire rassembler. La production de l’essence spagyrique (selon le Dr. Zimpel 1800-1878) se fait en trois étapes : fermentation, distillation puis calcination afin de réintroduire les oligo-éléments réduits en cendre. Un processus important car il permet, selon la tradition alchimiste, de « purifier » chaque composant . ( « Apprends donc l’Alchimie qui porte aussi le nom de Spagyrie, qui enseigne l’art de séparer le faux du vrai. Ainsi est la lumière de la nature »Paracelse) Des plantes médicinales fraîches choisies et contrôlées sont fermentées avec de la levure, ce qui libère les principes actifs de façon optimale Par la distillation les principes actifs passent ensuite dans le distillat. Ce qui reste après la distillation est réduit en cendres; c’est ainsi également que l’on obtient les substances minérales des plantes.
Les substances minérales sont ensuite ajoutées au distillat (mariage spagyrique).La plante entière est travaillée et on en extrait et purifie les trois principes végétaux qu’on réunit finalement en quintessence. Selon les partisans de la médecine Holistique, cette quintessence agirait en synergie sur le corps, l’âme et l’esprit. Les essences spagyriques sont vendues seules ou en mélange. Elles n’engendrent pas d’effets secondaires, se prévalent d’une faible teneur en alcool et peuvent être administrées aux enfants.